>>It's me against the world... Hihi!<<

o1. une identité de façon générale.

Nom : Harrison. "Vous avez vu, comme Harrison Ford!! Hihi!"
Prénom : Jenny-Brooke. Sa mère n'arrivait vraiment pas à se décider, alors quitte à lui pourrir sa vie plus tard, elle additionna Jenny et Brooke. Autant dire que la pauvre fille n'a pas eu beaucoup de chance. De toute façon, dans la famille, ils ont tous des prénoms composés.
Âge, Date de Naissance : Jenny-Brooke a 19 ans, elle est en deuxième année car elle a redoublé deux fois. "Voui, mais c'est siiiii duuuuur les cours!"
Lieu de Naissance : Elle est née à Miami, et y vivait d'ailleurs jusqu'à ce que son père fasse faillite (t'oh!). "Ca veut dire quoi faye it?"
Origine Géographique : Papa-maman sont tous deux de purs Américains, élevés au hamburger, comme on n'en fait plus. Mr Harrison et toute sa famille ont toujours grandi à Miami, plus belle vide du monde, selon lui (et on ne l'en dissuadera pas). Sa mère, Jennifer-Pamela, venait de New-York et d'une famille plutôt aisée. "Viva America, hihi!"
Origine Sociale : Jenny-Brooke n'a jamais, au grand jamais, manqué de rien. A vrai dire, elle a même toujours eu plus. Evidemment, quand papa est un homme d'affaire de génie, on ne connait que les plus belles choses, on grandit avec une petite cuillère en argent dans sa bouche V.I.P. Syndrôme vivant de la folie des grandeurs, son père a malheureusement perdu une bonne grosse partie de sa fortune il y a quelques années, d'où le déménagement à Phoenix, mais il va se refaire, il va se refaire. "Beuuuhhh oui, il va se refaire! Comment je vais m'acheter mes fringues, moi, sinan??!"
En quel année de lycée : Seconde année. La pauvre mère est à la ramasse niveau études.
Titulaire du permis ? [] Oui. [X] Non. Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir essayé de le passer! Mais que voulez-vous, on est doué ou on l'est pas...

o2. la famille.

Nom du Père : Bryan Harrison.
Profession : Homme d'affaires.
Nom de la Mère : Jennifer-Pamela Harrison.
Profession : Mère au foyer.
Bref historique : Du côté de maman, elle aussi a toujours eu la vie rose. Fille d'une famille d'émigrés aisés, elle grandit à New-York dans un studio près de Central Park. Enfant unique, elle fut gâtée au point d'en devenir une petite peste capricieuse. Elle a toujours rêvé de fouler les planches de Broadway, mais elle chante comme un cheval castré, alors elle s'est contenté de vivre dans le sillon de ses parents. Aujourd'hui, ses géniteurs sont décédés et elle n'avait ni oncles, ni tantes.
Chez papa, rien de très original non plus. Il n'était pas pauvre, il n'était pas riche, mais il n'a jamais manqué de rien. Il a eu deux soeurs qui vivent elles aussi à Phoenix, et ses parents sont toujours vivants, mais restés à Miami. La famille Harrison n'a jamais réellement fait de vague, et on ne les connait pas. Jonathan s'est lancé dans les affaires et a fait fortune, construit sa petite famille, mais il a du quitter Miami après avoir fait faillite... Hé ben oui, quand on blanchit de l'argent, ça peut arriver. Il arrive parfois qu'on reparle à Jenny-Brooke de cette histoire, car à l'époque, son père avait fait la une des journaux. "WHAHOU, comme une staaar!!"

o3. le caractère en profondeur.

Caractère, description :

Avant tout, il faut expliquer les raisons de ce caractère... disons hors-norme. Jenny-Brooke a grandi dans un environnement très particulier: un luxe extrême, un gâtage constant, bref, personne ne lui a jamais rien refusé, elle n'a jamais du se battre pour obtenir quelque chose car elle a toujours tout eu avant de le demander. Et puis, il y a les gênes n'est-ce pas... tout ceci peut peut-être rendre un enfant très heureux, mais cela a aussi des conséquences... parfois très difficiles.

Tout d'abord, car il faut bien commencer par le plus terrible, Jenny-Brooke est stupide. Tous les adjectifs sont bons à prendre pour expliquer cette étroitesse d'esprit: elle est niaise, elle est idiote, elle est simplette, elle est godiche, elle est bête, c'est une vraie connasse.... Mais on ne lui a jamais appris à réfléchir, la pauvre! Très peu cultivée, la jeune fille passait son temps d'études à rêvasser, puisque ses devoirs étaient de toute façon faits par quelqu'un d'autre. Alors à présent, elle affiche son manque d'intelligence sans arrêt, avec des "oooh!" et des "aaah!" très étonnés lorsqu'on lui explique la différence entre une grenouille et un têtard. Enfin, elle s'en moque royalement, elle compense cette sottise par une innocence toute candide.

Car Jenny-Brooke est une gaffeuse de première. Le "seul" inconvénient, c'est qu'elle ne s'en rend pas compte. Certains ont toujours une plaisanterie aux lèvres, elle, ce sont des conneries. Elle ne comprend pas suffisemment l'humour, de toute façon, les gags visuels peinent déjà à la faire rire. On dit bien "heureux les simples d'esprit...", et si Jenny-Brooke ne sait pas d'où vient cette citation, elle espère inconsciemment qu'elle soit vraie et fondée. Manquant totalement de tact et de finesse, elle met très souvent les deux pieds dans le plat, elle fonce tête baissée sans regarder où elle va, bref, elle ne fait attention à rien et fait preuve d'un culot d'enfer. Enfin, elle, elle n'appelle pas ça du culot, elle se dit juste naturelle et très franche. Ce qui est vrai.

Ne lui confiez J.A.M.A.I.S un secret, elle est incapable de tenir sa langue. On ne peut pas vraiment dire qu'elle soit comère (elle ne sait pas ce que ça veut dire), mais elle ne mesure pas toujours très bien l'importance des petites cachotteries entre personnes civilisées. Très éloignée d'une notion comme "tact" ou "prendre quelqu'un avec des pincettes", elle peut lâcher la plus grosse révélation du siècle concernant une copine en se servant un coca-light.

Elle dit toujours ce qu'elle pense aux autres, tout comme ce qu'elle pense d'elle. Elle n'a aucune honte à avouer ses fautes, elle a tellement l'habitude. Et puis elle n'ignore pas le fait qu'elle n'a pas inventé l'eau tiède, elle ne s'en cache pas. Pas trop intransigeante, elle permet l'erreur comme elle pardonne l'offense et elle ne connaît pas la rancune. Elle peut pardonner même aux pires pestes ou aux méchants! Enfin, pas trop méchants quand même, hein... D'ailleurs, Jenny-Brooke a beaucoup de compassion pour les pauvres gens, et elle fait la charité quand elle peut (faut pas exagérer quoi). C'est une fille sympathique, hein, qu'elle est sympathique?

Vu la jeunesse dorée qu'elle a eu, on pourrait penser que Jenny-Brooke est orgueilleuse et prétentieuse... C'est faux! Trop stupide pour être une garce, Jenny-Brooke est une personne (trop) aimable, qui sourit toujours exagérément, qui complimente à tour de bras pour faire la conversation, qui parle énormément sans jamais avoir rien à dire. Elle tombe toujours tel un cheveu sur la soupe, ricane comme une bécasse; c'est une personne, comme vous pouvez le constater, très sociale. N'avoir aucune conversation ne l'a jamais freiné, vu qu'elle pense être une sorte de diva moderne, elle complète les blancs par de grands rires précieux et d'autres "ooooh!" et "aaaah!".

Malheureusement, et très étrangement, Jenny-Brooke n'est pas souvent très attachante. Généralement, on la trouve trop agaçante pour faire une bonne amie, et elle tape très vite sur le système. Elle ne comprend pas trop pourquoi... En clair, elle est très lourde. Ca ne dérange pas tout le monde, si?

Jenny-Brooke n'a pas beaucoup de talent, à part celui de se maquiller et de s'habiller à la dernière mode. Amoureuse de son reflet (quand il est parfait), elle serait narcissique si elle avait ne serait-ce qu'un soupçon d'égo. Elle adore se pomponner et jouit d'être belle, bien formée par la nature, admirant ses beaux cheveux, et sa peau, et ses yeux... Etc.

Pas très habile de ses dix doigts, Jenny-Brooke a aussi du mal avec les cours et la conduite. Comme la vie est cruelle avec elle...

Goûts, Hobbies, Activité Extra-Scolaire : Par-dessus tout, Jenny-Brooke raffole des... sorties shopping. Ou des sorties tout court d'ailleurs. Faire les magasins, ce n'est même plus sa passion, c'est un besoin, c'est comme un job. Ecumer les soirées branchées (même si elle n'est pas invitée), déhancher son body au rythme des dernières musiques pop (elle danse très mal), tout ça constitue aussi une grande part de ses activités hebdomadaires. Elle aussi se maquiller, même quand ça ne sert à rien (pour dormir, par exemple), et s'occuper de ses animaux, deux superbes chinchillas à poils ras (des petits rats). Ah, et puis évidemment... Encourager les joueurs! Jenny-Brooke se passionne littéralement pour ses pompons.
Pour finir, elle aime beaucoup... les voitures! Les voitures, oui. Pas pour les courses (brr trop dangereux), mais parce que, whouah! C'est trop magique!
Ce qu'il n'aime pas, ses peurs : Jenny-Brooke n'aime pas rater quelque chose. Malheureusement, ça lui arrive souvent, quotidiennement en fait. Se sentir inutile, ça, elle s'en moque royalement (encore heureux), mais foirer ce qu'elle entreprend, c'en est presque à pleurer. Quand elle essaye quelque chose, elle s'attend à ce qu'elle réussisse, puisque dans sa jeunesse, rien ne ratait. Les temps ont changé.
Elle déteste se perdre dans des lieux terrifiants, ou avoir peur en général. Ca lui arrive pourtant souvent, aussi.

Quelque chose à noter ? /
Ses rêves, ses projets ? Elle n'en a pour le moment absolument aucune idée...

o4. l'apparence compte.

Physique, description:
Il n'y a qu'à la voir une seule fois pour s'en rendre compte: Jenny-Brooke est sublimement, magnifiquement, incroyablement belle. Elle s'est toujours demandé, d'ailleurs, si elle n'avait pas quelques origines scandinaves pour cette couleur de cheveux, naturellement blonde et brillante, ces traits pointus, jolis; ou peut-être grecques! Ben oui quoi, Aphrodite était bien Grecque? Bref, un regard suffit pour tomber sous le charme de cette belle jeune femme. C'est comme une vapeur de beauté qui s'échappe d'elle, comme le pouvoir envoûtant d'une Vélane (de chez Harry Potter, vous savez? Ouais bon, bon...), un aura de beauté éternel. Elle brille, elle rayonne!

Tout d'abord, de par sa splendide chevelure. Jenny-Booke possède de longs cheveux blonds et lisses, d'une couleur si éclatante qu'on dirait... un soleil. Elle les entretient consciencieusement depuis l'adolescence, prenant bien soin de les nourrir et de les soigner grâce à divers potions de beauté, baumes, etc. C'est pour elle une grande fierté et elle adore les secouer pour bien les faire voir à tout le monde. Il n'y a qu'Amelia qui peut prétendre à une aussi belle tignasse, et encore. Jenny-Brooke aime beaucoup les parer de serre-têtes, de rubans, de noeuds rose à la Minnie Mouse.

Son visage est assez carré au niveau du menton, mais l'élégance aristocratique de ses traits dissipe ce léger défaut. Jenny-Brooke a un nez pointu et légèrement retroussé, lui donnant un air mutin, un peu fripponne. Soutenus par de hautes pommettes légèrement saillantes, ses beaux yeux bleus en amande éclairent son visage d'angelot. Sa bouche est charnue, bien pleine, soulignée constemment de maquillage, rendant ses belles lèvres pulpeuses comme il faut. La couleur de ses prunelles est somme toute banale - ce bleu clair, avec des nuances océannes, azurées - mais tout le charme de son regard repose sur l'étincelle mystérieuse qui y repose. Jenny-Brooke a une façon de déposer ses yeux sur vous, comme si elle pouvait transpercer les gens avec... Limite transcendent... En réalité, ce n'est pas une lueur mystérieuse. C'est une lueur de stupidité, un regard simplement vide qui ne refléte que l'intérieur de son cerveau.

A bien y regarder en fait, la beauté de Jenny-Brooke n'est qu'une façade. On pourrait comparer son visage a celui d'une poule qui caquette à la recherche d'un bon ragot, son regard insignifiant vous voyant sans vous voir. Mais ne lui en voulez pas! Jenny-Brooke reste belle malgré tout, et ça lui est bien suffisant.

Sa façon de se vêtir : Jenny-Brooke s'habille tout simplement comme une pétasse. Mini-jupes, bustiers, rose fushia et paillettes, c'est son lot quotidien. Elle aime bien se trimballer avec son uniforme de pom-pom girl, ça lui permet de s'habiller très court sans se faire insulter.
Quelque chose de particulier ? Na!

o5. la biographie.

Voila presque ving ans, Jennifer-Pamela (Janine) et Bryan (René) Harrison décidèrent d'avoir un second enfant. Pour la petite histoire, ces jeunes mariés s'étaient établis à Miami par envie de richesses, de gloire (ils étaient étonnamment ambitieux) et là-bas, ils avaient déjà eu un fils, Dylan-Kevin, qui montraient beaucoup d'aptitudes pour le biberonnage. Loin d'être satisfaits, désireux d'avoir une grande famille, ils avaient donc fait en sorte que Jennifer-Pamela tombe de nouveau enceinte.

Une nouvelle vie démarra pour le couple, mais aussi pour la petite Jenny-Brooke qui naquit peu de temps après que Mr Harrison fasse ses premières merveilles fiscales. Elle fut un bébé horrible. Braillarde, nerveuse et capricieuse, elle s'entêtait à demander la lune à ses parents dans un gazouillage incessants de gouzi-gouza. Ce fut une période très difficile pour le jeune couple, car avec deux enfants, Jennifer-Pamela était encore enceinte et devait dire adieu à ses pauvres rêves d'être une grande chanteuse. C'est ainsi que neuf mois plus tard naquit Amalia, la petite soeur de Jenny-Brooke de seulement 1 an (à peine).

De sale petite terreur en couche-culotte, Jenny-Brooke devint miraculeusement une jeune fille passablement agréable. Petite blonde enjôleuse, elle eut tout ce qu'elle voulait d'un simple regard azuré. Tout le monde lui passait ses caprices, ses copines, ses parents, son frère, elle était le petit chouchou gâté de tous. Amalia connut le même sort très rapidement, et les deux soeurs s'entendirent très bien, très tôt. Mais vite, Jenny-Brooke montra les signes d'une profonde bêtise. A l'école, elle ne brillait guère, voila pourquoi d'autres lui faisaient ses devoirs. Malgré les petits soucis qu'une vie intellectuellement vide peu apporter, la jeune fille fut très heureuse. Elle ne comprenait pas qu'elle agaçait les gens par sa sottise, et encore heureux (la pauvre), donc tout allait très bien.

Son enfance lui apporta tout ce qu'il fallait pour qu'elle mûrisse (à son rythme), et sa famille la couvait suffisemment pour que les moqueries de ses petits camarades concernant son intelligence égale à celle d'une huître ne la touchent pas. Il ne lui arriva rien d'affolant, pendant ses années là. Elle développait toujours d'étroits liens d'amitié avec son frère et sa soeur, et ne remarquait pas que ses parents étaient le stéréotype parfaits des parents pétés de thune, qui se vouvoient et qui se fourvoient dans les finances.

Elle devint ado, avec tout ce que cela signifie. Crise de personnalité, comportement invivable (elle alla jusqu'à dire flûte à sa mère, tout de même), Jenny-Brooke devint lunatique et... maniaque. Presque névrosée à ce niveau-là, elle se mit à développer une étrange relation avec le ménage et la propreté, mais aussi et surtout, son soin personnel. C'est à dire qu'elle commença à vouloir s'habiller elle-même (et juste avec de la haute couture, s'il vous plaît), à se maquiller comme une starlette, et à vénérer Marilyn Monroe (aucun rapport). Ce n'était pas la pire des pestes, loin de là, surtout qu'elle vivait son évolution mentale avec un certain retard par rapport aux autres, je vous prie de le croire, mais ce fut cette période qui enclencha la partie la plus "lourde" de son pauvre petit cerveau.

Et puis... The crise. Tout allait pourtant bien. Dans sa belle grande maison où il n'y avait que l'amoûûûr, son frère, sa soeur et ses parents (et elle, hein), elle commença à comprendre qu'il se passait quelque chose de louche.

Le fait que ses amis du lycée se moquent d'elle quotidiennement lui avait mis la puce à l'oreille. On la traitait avec beaucoup de respect qu'auparavant, mais le hic, c'est qu'elle ne comprenait pas pourquoi. Jusqu'à ce que sa voisine de maths (une rouquine à lunettes, pouarh) lui tende avec un petit sourire satisfait la une du journal. Jenny-Brooke s'extasia sur le fait que Justin Timberlake faisait un nouveau clip, et il fallut environ un quart d'heure pour lui expliquer qu'elle était plutôt concernée par l'article sur les fraudes monétaires. Ainsi, ce jour-là, voila plus de trois ans, Jenny-Brooke apprit par un misérable bout de papier jauni que son père blanchissait de l'argent et ne se contentait pas d'investir dans le futur, comme il le disait. Le temps qu'elle lise l'article, évidemment, il n'y avait plus personne autour d'elle, et elle put se permettre de pleurer un bon coup (mais elle ne comprenait pas le mot "blanchir").

Une petite explication s'imposait, n'est-ce pas, et à la maison, elle chouina pour que ses parents lui disent ce qui n'allait pas. Ils finirent par réussir à faire rentrer dans son crâne la notion de "ON EST SUR LA PAILLE QUOI", ce qui terrifia Jenny-Brooke. Elle se voyait déjà s'habiller avec des fringues de chez H&M... Mais sa mère la rassura. Ils allaient simplement déménager, oublier cette sordide histoire et reconstruire leur vie quelque part ailleurs, où ils n'étaient pas appelés les gros fraudeurs. Hé bien... Pourquoi pas?

C'est ainsi qu'ils déménagèrent à Phoenix, dans le quartier moyen. Grâce à d'habiles serrages de ceintures et approches de nouveaux jobs, ses parents réussirent à assurer à Jenny-Brooke et sa fratrie que leur vie n'allait en fait pas changer des masses. Ce qui était vrai. Jenny-Brooke peut toujours se permettre de dépenser un sacré paquet d'argent et elle se vêtit toujours avec le plus grand soin. Simplement, maintenant sa mère doit trouver un travail et son père n'est jamais là mais... où est le problème?

Ca fait donc trois ans que Jenny-Brooke habite à Phoenix et elle doit dire qu'elle aime bien cette ville. Au lycée, en seconde année et pom-pom girl, elle espère devenir "populaire"! (Mais enfin faut pas trop rêver quoi...)

o6. ce qu'il reste, et la fin de la fiche.

Acteur/trice, Célébrité : It's Pawiiiiiiissss! Paris Hilton, quoi!
Pseudo IRL : Nennépas^^"
Age IRL : 18
Comment trouvez vous le forum ? Nickel chrome
Commentaire ? Aurores, I Love you Bebey

Fiche terminer ?

Ouiiii, désoléééééée xD

Pas grave j'me poser juste la question xDD

Bon déjà désolé mais j'peut pas m'en empecher : QUEL PETASSE

J'te rassure sa veut dire que j'adore le perso :lo!:

Franchement la vrai blonde quoi

Je sens qu'on va bien rire avec tes rp

Bon Bin Bienvenue sur Phoenix et Valider bon jeu

j'te met dans le groupe des pompom