Cours Particulier - PV Jack

Celà faisait une bonne heure que Anne se trouvait en haut dans sa chambre à faire ses devoirs mais elle ne semblait en aucun cas en avoir marre. Elle aimait se retrouvait seule et laisser libre cour a son imagination. Le devoir sur lequel elle travailler était une dissertation sur les histoires dramatiques avec pour support les romans mais aussi les film, et leurs conséquences sur le publics. Sur le bureau se trouvaient donc « Les liaisons dangereuses » ,« Le temps d'un automne » « Un long dimanche de Fiançailles » « Moulin rouge » et bien d'autre.... Le sujet passionnait la jeune fille qui n'avait encore jamais vraiment une histoire d'amour digne de se noms.

C'était peut-être risible mais elle n'avait que seize et bien qu'elle soit désormais un peu veille pour cela elle attendait toujours le prince charmant. Loin d'être confronté au monde et de se rendre compte de la stupidité et de la sauvagerie de certain, voir de nombreux, garçon Anne avait des idées préconçue sur l'amour. En grande romantique qu'elle était elle attendait LE garçon qui lui ferait battre le cœur plus fort et ce refuser à tout autre en l'attendant. C'était peut-être niais et naïf mais elle était ainsi.

Dans la tranquillité de sa chambre elle attendait en toute innocence la venue de Jack Wargner. Son professeur de Mathématique Mr Jefferson savait qu'il était un peu perdu dans cette matière alors étant donné qu'il appréciait sa gentillesse et son sérieux il lui avait soumis l'idée de faire équipe avec un bon élève afin qu'elle remonte son niveau. La jeune blondinette avait trouver la suggestion intéressante et Mr Jefferson proposa Jack Wargner qui avait bien besoin de cour particulier en littérature, le domaine de prédilection de Anne. Donc voilà c'était donnant donnant. Elle lui apprenait la littérature et lui les Math. Elle jeta un coup d'oeil a l'horloge qui se trouvait sur le bureau et s'aperçut qu'il n'allait pas tarder. Il tait 18H30 et ils avaient rendez vous à 18h. Et elle n'avait pas tord car elle entendait bientôt la sonnette retentir.

Meme Rosenberg - Anneeeeee
Anne - J'y Vais dit-elle de l'étage tandis qu'elle descendait l'escalier a vive allure juste après avoir remis convenablement sa jupe plisser qui s'était légèrement relever à force d'être assise.

La maison des Rosenberg tait une ravissante petite villa, avec une clôture blanche et un charmant petit jardin. Elle ouvrit la porte et accueillit Jack avec son habituelle gentillesse.

Anne - Salut . Sa va ? Entre entre je t'en prit dit-elle avec un sourire, se poussant sur le côté pour le laisser entré. J'espère qu'tu as trouver facilement.

Elle le connaissait a peine et donc elle n'était pas très à l'aise et ne savait pas trop quoi dire mais elle s'efforcer d'être le plus sympathique possible.

Anne - Tu veus qu'on fasse l'exposer dans le salon ou dans ma chambre ?

Elle avait poser tout innocemment, ne réalisant sûrement pas qu'on inviter pas un garçon dans sa chambre sans qu'il est dessuite des arrière penser....

Anne n'était pas du genre à juger les gens et a se fier aux apparences, heureusement d'ailleurs car ce qui émaner de Jack semblait tous sauf rassurant. Le jeune homme la détailler d'un regard froid et semblait légèrement distant envers elle, voir intriguait. Il n'avait peut-être pas l'habitude de se retrouver face à une fille de son genre. Bien qu'elle ne le jugeait pas, elle voyait plus Jack en compagnie de deux jeunes blonde toutes refaite qu'avec un lève sérieuse et bien élever. Mais peu importe elle garder son air accueillant et s'efforcer de ne pas être décontenancé par sa froideur. Ses parents l'avaient parfaitement éduqué et elle savait recevoir, et s'adapter aux gens qui se trouvait en face d'elle. Puis d'après ce qu'elle savait était un excellent ami d'Elie Daybreak, son meilleur, se qui signifier sans aucun doute que ce n'était un mauvais bougre .

Anne - Tu veus qu'on fasse l'exposer dans le salon ou dans ma chambre ?
Jack : « On sera sans doute plus tranquille dans ta chambre.»
Anne - Si tu veus dit-elle toujours souriante.

A elle peut lui importer où ils étudieraient, elle était chez elle et donc ce trouvez à son aise dans chaque recoin de la maison. Ses parents se trouvaient de le salon, et ils regardaient tranquillement la télé pendant que Anne accueillait son invité dans l'entrée. Elle n' était pas très enthousiaste à l'idée de travailler sur les mathématiques, mais transmettre son savoir sur la littérature à Jack était une idée qui lui plaisait beaucoup. Elle était certaine qu'elle arrivait à l'intéresser a lui faire voir cette matière différemment .

Jack : « Mais je dois partir pour 2ohoo. »
Anne - D'accord c'est noté 20H00 . Promis je te laisserai partir à l'heure affirma dit-elle toujours aussi souriante.

Elle ne fut pas vraiment surprise que l'entendre dire qu'il partirait à 20H parce qu'elle savait pertinemment qu'il ne resterai pas tard dans la nuit pour apprendre des choses qu'il devait surement trouver rébarbative. C'était tout à fait normal. Puis de toute façon chez les Rosenberg l'heure du repas était fixer a 20H elle aussi donc ça ne l'en déranger en rien. Puis Anne n'était pas vraiment du genre à imposer sa loi aux autres, elle trouvait déjà bien que le jeune Wagner est pris la peine de venir jusqu'à chez elle. Adressant un sourire et a regard a Jack, elle monta les escaliers, l'invitant ainsi sans prononcer à monter. Anne ouvrit la porte et la laissa grande ouverte pour laisser son invité entré a son tour son invité. Elle se dirigea vers le bureau afin de le ranger rapidement, car elle y avait beaucoup mis le basard a son goût avec les divers livres.

Anne - Tu peut poser tes affaires où tu veus. N'hésite pas a t'asseoir. Fait comme chez toi fit-elle rassurante tandis qu'elle rassemblait un petit tas les livres.

La chambre de la jeune fille ressemblait à tous sauf a une chambre d'adolescente de seize ans . Il n'y avait aucun poster de stars hyper connue sur les murs, aucun tas de vêtements balancer aux quatre coin, aucune coiffeuse débordante de maquillages et de produits de beauté et pas de magazine du genre « Jeune et jolie » . Au lieu de ça la chambre de Anne était simple et ordonné, dans les tons rose pale et sable. Des rideaux brodée se trouvait aux fenêtres, des peluches sagement posé sur l'avant du lit et une immense bibliothèque se trouvant sur le côté . Il y avait également un grande étagère vitrée contenant des dizaines de poupée de porcelaine de collection ainsi que des dizaines de photo de familles, et même certaine de la blondinette étant petite voir bébé, accroché au mur.

La jeune Rosenberg ayant fini de ranger le bureau se retourna vers Jack.

Anne - Alors tu veus commencer par quoi ?

Jack : « Tu vis vraiment ici ? »
Anne - Oui. Pourquoi ?

La question de Jack l'intrigua, elle avait l'impression que c'était presque d'imaginer que quelqu'un pouvait vivre dans un tel. Etait-ce a cause de son goût à cause du fait qu'elle était ordonné et sage ? Elle n'en savait rien mais elle ne voyait pas ce qui pouvait bien clocher dans sa chambre, pour elle prendre soin de ses affaires était quelque chose de naturelle et il n'y avait rien de choquant dans sa manière d'agir. Malgré le fait qu'elle n'avait fait aucun commentaire, elle avait discrètement jeter un œil à Jack et aperçut ses faits et geste, rougissant légèrement malgré elle et s'apercevant qu'il examiner chaque recoin de sa chambre, de son jardin secret. C'était dans cette pièce le trois quart des objet auquel elle tenait, son premier livre, sa peluche favorite ou encore diverse souvenir de vacances, de jeunesse et de moment de bonheur partageait avec sa famille où même ses amis. Mais elle resta silencieuse le laissant pénétrait dans son univers avec une certaine appréhension mais en restant toujours gentille et agréable.

A présent il était assis dans un fauteuil au fond de la chambre et pencher vers l'avant il la regardait de manière étrange. Peu habitué à un tel regard, presque d'angoisse se serra, elle ne savait pas vraiment comment réagir. Elle se sentait presque rougissante et presque stupide d'être intimidé pour si peu mais le regard du jeune Wagner avait quelque chose qui laissait tout sauf indifférent. Sans trop comprendre pourquoi elle se sentait assez mal à l'aise et avez l'impression d'être un morceau de viande face à un lion. Malgré elle se détourna le regard l'espace de quelque seconde ne sachant pas vraiment comment réagir.

Jack : « Jouons à un jeu amusant. Tu m'enseignes ce que tu sais sur tes bouquins ... et si je commence à trop m'ennuyer, alors ce sera à mon tour de t'enseigner ce que je sais. »

Elle leva un regard intriguait, sa manière de s'exprimer était étrange comme s'il cacher bien des choses mais elle avait confiance en la nature humaine, et elle se plaisait à croire qu'il est inutile de crier au loup tant quand en voit pas la queue. Certes elle n'était pas idiote et bien que Wagner l'ignorait peut-être elle savait que le homme n'était pas un modèle de pureté et d'innocence, mais de là à imaginer qu'elle pourrait lui plaire.... Non elle n'avait pas une assez haute estime d'elle même pour ne serait-ce qui songeait l'espace de quelque seconde.

Anne - « Euh....d'accord » dit-elle en plissant légèrement le front perplexe.

Etrangement les mots de Jack lui inspirait moyennement confiance, elle n'avait pas saisi où elle voulait en venir mais elle le trouvait étrange et un brin intriguant. Normalement elle devait lui enseigner la littérature et lui les mathématique, il n'était aucunement question de « jeu » . Anne aimait les règles et les choses structuré et elle n'aimait s'aventurait a l'aveuglette dans quelque chose d'inconnu. Elle manquait souvent de courage pour refuser mais l'aventure elle avait horreur de ça, alors elle espérait secrètement qu'elle arriverait à intéresser le jeune Wagner. Attrapant Un long dimanche de fiançailles qui se trouvait sur le bureau elle alla s'asseoir sur le lit et avec un sourire timide invita Jack a venir s'asseoir a côté d'elle. Il ne semblait pas ravie du cour qui allait suivre mais peut importe.

Anne - Tu connais ce livre ? lui dit-elle en lui montrant la première page. C'est une histoire d'amour fantastique entre un jeune soldat et une femme énormément courageuse que la guerre a tout fait pour séparé mais leurs amour était plus fort que ça.

On sentait de sa voix que ce dont elle parlait la patienter et la prenait au cœur. On pouvait clairement comprendre en écoutant Anne que cette histoire la faisait rêver et qu'elle était encore pleine d'innocence, croyant à l'amour véritable et au prince charmant. Elle raffoler de se genre d'histoire où l'amour triomphé de tout et que malgré les épreuves tout finissait par s'arranger lui laissant l'espoir qu'une chose aussi belle et intense lui arriverait un jour. Souriante elle ouvrit le livre à sa page préférait dans l'optique de lire un passage a Jack pour l'intéresser d'avantage.

Anne - « " Il restait ce fil, le fils de la vie. Mathilde l’a saisi. Elle le tient encore. Il la guide dans le labyrinthe d’où Manech n’est pas revenu. Quand il est rompu, elle le renoue. Jamais elle ne se décourage. Plus le temps passe, plus sa confiance s’affermit, et son attention.Et puis Mathilde est d’heureuse nature. Elle se dit que si ce fil ne la ramène pas à son amant, tant pis, c’est pas grave, elle pourra toujours se pendre avec. " » Elle lisait avec passion y mettant tout son cœur, comme si elle aurait pût être Mathilde. Gardant la page avec doigt, elle referma le livre et se tourna vers le jeune avec un visage rayonnant. « Alors ? Tu ne trouve pas ça magnifique ? Elle serait prête à mourir pour lui. »

Anne - « Quoi ? » dit-elle visiblement choquer, ayant un léger geste de recul.

Elle ne s'était pas attendu à une réaction aussi direct de la part de Jack. Certes il ne semblait pas du genre à balancer des cœurs a tout va et à croire au romantisme, elle en était consciente par rapport à la froideur qu'il reflétait mais de là à trouver cela « idiot » . Faisant plus que donner son avis, elle avait l'impression que le jeune homme la jugeait et en insultant le livre, elle se sentait insulté aussi en quelque sorte. Toutefois elle ne s'énervait pas, chacun avait une vision différente de la vie mais elle se sentait un peu blessé par sa remarque. De plus elle comprenait pas en quoi mourir pour l'être aimé était quelque chose d'idiot. Des tas de gens passent leurs vies sans vraiment connaitre le grand amour, préférait vivre simplement en ayant peur d'un jour le rencontré, ne se rendant pas compte que l'amour c'est la vie en fin de compte. Sans amour rien ne vaut la peine Elle elle n'était pas comme ça, elle voulait rencontré l'être aimé même si cela ne durer pas éternellement . Alors y croyait, elle croyait comme fer et ne trouvait pas ça « idiot » .

Jack : « Si c'est un soldat, il est évident qu'il n'a que peu de chances de revenir vivant. Pourquoi partir à sa recherche, après tout on oublie un amour par un autre amour.
Anne - Je ne suis pas d'accord avec toi. Un amour, un vrai, on en as qu'un seul. Tu crois qu'on peut remplacer l'être aimé d'un claquement de doigt comme une vieille chaussette ? Si c'est le cas, c'est " ça " que moi je trouve idiot.

Il argumentait et lui exposer son point de vue mais elle faisait de même, défendant son opinion et ce dont elle était sûr et certaine.

Jack - «Ce livre n'est qu'un prétexte à écrire des pages et des pages sur l'histoire d'une pauvre fille qui espère. Ça fait vendre tu me diras, c'est déjà ça... Sais-tu pourquoi l'être humain trouve et a toujours trouvé bien plus belles les histoires d'amour déchirantes ou qui finissent mal ? »

Son avis la révolter presque, son comportement était peut-être excessif mais c'était un peu comme lorsque l'on as six ans que vous croyait dur comme fer au père noël et qu'on vous annonce sans vergogne qu'il n'existe pas. Alors la déception était immense parce que les paroles du jeune Wagner était dite avec tellement de conviction qu'elle semblait aussi réelle et donner presque envie d'y croire.

Anne - « Non » affirma-t-elle intriguait .

Jack : « Parce que l'être humain est frustré par nature. Ces histoires là sont comme des aventures que personne ne pourra jamais vivre. Alors l'écrivain transforme sa frustration en écrivant ce genre de grandes histoires passionnées mais pas franchement passionnantes. A l'exception près que l'aventure est un nom romantique pour problème. L'amour est un problème, et comme l'être humain est étrange, il aimerait pourtant vivre ce genre de choses qui ne lui arriveront jamais. »
Anne - « Je suis certaine que tu affirme cela seulement pour m'énerver parce qu'tu espère que cela suffira pour que je n'ai plus envie de te donner des cours ainsi tu serai débarrassé de quelque chose qui représente pour toi une corvée. Mais ça ne marche pas comme ça Jack. »

Choquait par ses propos elle s'était relever d'un seul coup et le regarder d'un air grave. Il s'était lever lui aussi d'ailleurs. Ce qui l'émouvait le plus en fait c'était qu'il semer en elle le doute. Un part d'elle même, le côté naïf et influençable était tenté de se pencher sur les dires du jeune homme et d'y croire. Peut-être qu'il n'avait pas tord.... C'est a cause de cette voix dans sa tête qui lui disait celà qu'elle semblait si révolté tout à coup. Jack lui restait arrogant et toujours aussi mystérieux et cela intriguait Anne au plus profond d'elle même.

Jack : « Dans la réalité, personne ne donnerait sa vie par amour. Je ne crois pas en ce sentiment, c'est un prétexte pour être certain que nous sommes différents de ces animaux qui ne ressentent rien. Au mieux l'amour c'est comme une affection exagérée, au pire on fait semblant d'y croire. Tu es sûre que tu veux continuer la leçon ? »

Cette fois s'en était trop . Elle ne pouvait pas le laisser dire de tel mensonge aussi éhonté.

Anne - « Oui j'le veus parce ce que tu dit est totalement faux ! Tu te trompe, je sais que l'amour véritable existe. Certes celà fait vendre et fait de belle chose a raconter mais il existe. Je me fiche totalement de savoir si tu y crois ou pas en fait mais il existe. Tu crois sincèrement qu'un sujet aussi bassique que l'amour ferait autant vendre s'il n'était pas réelle ? Si ce genre d'histoire complêtement « idiote » comme tu dis ne sentant pas le vécu ? J'en doute. Si l'amour à autant de succès c'est avant tout parce que tout l'monde se reconnait dans ce genre de texte. Tout simplement. »

Anne était peut-être gentille, et naïve mais elle était aussi buté et têtue et il était hors de question qu'elle le laisse détruire aussi facilement tout ses idéaux. Elle avait parler avec vigueur et on sentait bien que ce sujet la prenait à cœur.

Anne - « Tu sais Jack.... Il y a quelque chose qui m'attriste quand je te regarde tu dois avoir, aller entre 16 et 19 ans grand maxi et pourtant tu semble ne plus rien attendre de la vie, ne plus avoir foi en rien. Pourtant je suis sûr qu'au fond de toi tu as encore envie de croire a ses histoire de compte de fée mais tu ne sais pas comment t'y prendre. J'me trompe ?»

La jeune Rosenberg voulait l'aider, elle disait lorsqu'elle affirmer qu'elle avait de la peine pour lui. Il semblait si froid,si distant et elle était curieuse de savoir comment il en était venu là.

Jack : « Non. Tu as raison. Peut-être... Peut-être que si je suis aussi dur c'est simplement parce que j'aimerai être quelqu'un d'autre, j'aimerai y croire, moi aussi. Je sais bien ce qu'ils disent de moi. Que j'ai un cœur de pierre. »

Elle a visé juste. Étrangement elle aurait se tromper et qu'il lui dise qu'il était parfaitement heureux avec la vie qu'il mener, cela aurait évité qu'elle ne s'inquiète pour lui et qu'elle soit peiné de le voir ainsi. L'arrogance du jeune homme s'était envolé d'un seul coup elle était presque certaine qu'elle était une des premières, voir l'unique, à le voir ainsi. Il semblait si différent tout à coup, elle en était surprise et légèrement réticente au début mais en fin de compte elle retrouva son air calme et apaisant, curieuse d'en savoir d'avantage et d'écouter le reste des paroles de Jack.

Jack : « Ils ont raison. Je suis un monstre, je ne peux pas aimer. J'essaie de m'en convaincre mais... Peut-être qu'un jour je trouverai le grand amour, en attendant je peux que me mentir à moi-même. Tu penses que... je suis une cause perdue ? Anne... »
Anne - « Non je pense sincèrement que non. Je te regarde et je pense que non. Je SAIS que non. Autant être honnête avec toi, j'ai moi même entendu certaine chose à ton sujet et la plupart ne sont pas glorieuse, loin de là mais plus je te connais et plus je commence a me dire que ses choses était fausse parce que lorsque je pose mon regard sur toi je ne vois pas un monstre. Je vois juste un jeune homme un peu paumé qui manque de repère. »

Elle semblait sûr et certaine de chacun de ses mots. Elle parlait d'une voix calme, douce et rassurante qui rappelait ceux des assistante sociale mais Anne ne se considéré pas comme tel. Elle n'était pas une psychiatre et il n'était pas le patient, elle se contentait juste d'essayer de lui prêter porter mainte forte car il semblait si triste. Il y avait de nombreuse chose que la jeune Rosenberg ne supportait pas et voir quelqu'un malheureux ce trouvait en tête de liste.C'était plus fort qu'elle s'était sa façon d'être d'aller vers les autres et de les aider. Le regard de Jack était tellement saisissant et plein de désespoir. Comment rester insensible face à ça? Impossible... Encore moins pour Anne. Son regard était plomgé dans celui du jeune Wagner et son cœur battait la chamade sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi. Sûrement parce qu'elle était ampathique à sa douleur, cela être très dur pour lui d'être aussi seul.

Anne - « Les causes perdue ça n'existe pas Jack. Il n'y a pas de compte à rebours, de temps à ne pas dépasser . Quoiqu'il arrive dans la vie il est toujours temps de faire marche arrière. Je suis sûr que si tu cherche un peu, si tu ouvre un peu les yeux tu l'a trouvera celle qui t'ai destiné. Et une chose est sûr il y en as forcément une. »

Elle avait proféré ses paroles en toute innocence ne se rendant pas compte que ses propos pouvait être interpréter de différente façon. Le regard toujours plongé dans celui de Jack, la demoiselle aurait voulut pouvoir faire plus pour lui que de prononcer quelque parole réconfortante mais elle semblait incapable de bouger tellement elle était toucher par le mal être du jeune homme.