enrique, gregorio oleivera -

VIOLENT SAINT. Messages : 168 Date d'inscription : 27/10/2008 Age : 34

fiche de présentation.

o1. une identité de façon générale.

Oleivera. Ce nom est craint. Il inspire la peur, et surtout, il est respecté. A part, peut être par les gens issus d'autres gangs. Il est aussi très connu. M'enfin, pas pour les meilleurs raisons du monde qu'il puisse exister, c'est vrai.

Enrique, Gregorio, Benito Oleivera.
Enrique n'aime pas son prénom. Il est trop banal pour un hispanique. Puis, généralement, c'est le nom de tous les personnages hispaniques qui passent à la télé. Du coup, ça le gonfle. C'est vraiment pas original, et il ne supporte pas qu'on le nomme ainsi. Du coup, il se fait appeler 'Rico. Qui à la base, n'est pas du tout le diminutif d'Enrique, mais de Américo. C'est aussi, sa façon de se dresser face à son père qui lui a donné ce nom lorsqu'il est né. Un prénom qu'il se serait bien passé.

Il est né le 1er Février 1993. Enrique est donc, âgé de 17ans.

Il est né à Los Angeles.

On va dire qu'il le porte bien sa peau. C'est un hispanique, un pur. Néanmoins, c'est un Angelinos. Et il en est fier, également.

On va dire qu'il ne manque de rien. Mais ce n'est pas grâce à un travail assidus de son père. Au contraire... Avec un père comme le sien, et tout le trouble qu'il y a autours...

11th Grade.

X

o2. la famille.

Güiza, Grégorio, Cruz Oleivera.

C'est là où il y a un hic. L'un des chefs de la mafia mexicaine... Bref, ça vous n'êtes pas censé le savoir à moins d'être flic ou avocat. Non, Güiza est un riche homme d'affaires qui fait dans la sécurité. Il a une grosse entreprise qui gère les vigiles de la plupart des grandes résidences, etc... Dans une bonne partie du Sud des Etats Unis son entreprise est connu. Enfin, vous aurez très vite bien fait de comprendre que bon... Güiza n'était pas un saint homme et beaucoup de choses restent encore caché... Car ce que l'on sait là, c'est seulement ce que Enrique sait.

Salma, Lucrezia Sandovar.

Elle est, à présent, décédée. Morte en 1999, elle était une grande artiste. Elle n'a jamais publié pour des raisons étranges ses écrits ou encore montré ses croquis, mais elle a toujours conservée une âme rêveuse et protectrice envers les siens. Elle a sut pardonné à Güiza, ses bêtises avec la mafia, etc... Leur amour était grand. Et elle lui avait toujours dit que tant qu'il ne la faisait pas cocul, elle lui pardonnerait tout, ce qu'il a fait. Lorsqu'elle est morte, ce ne fut pas qu'une simple fissure au sein de la famille. Ce fut un clash totale. Enrique ne s'en est jamais remit, et depuis, il haït son père au plus profond de son être.

La famille Oleivera est assez étendue. Mais pour faire simple, nous nous arrêterons à la génération de Güiza, ou plutôt, nous commencerons. Alors :
____Güiza a un frère. Alicante. C'est un être rêveur et qui a toujours été fasciné par le cinéma. D'ailleurs, c'est dans cela qu'il fait aujourd'hui carrière. Et il faut dire qu'il se démerde pas plus mal. Célibataire, Alicante, qui a 37 ans, possède une sacrée carrière derrière lui en tant acteur. Il a tourné dans de nombreux films qui ont marqué le cinéma Américain.
____Il a aussi un fils du nom de Alonsò. Ce dernier est plus âgé qu'Enrique de 4 ans. Avec Enrique, ils sont très proches. Énormément proche. Ils sont toujours à s'envoyer des textos, etc... D'ailleurs, c'est lui qui lui a acheté son téléphone portable et qui lui paye son forfait. Même si la distance les sépare, ils ne restent pas moins soudés. Et Alonsò prend souvent l'avion pour venir voir son frère lorsque ce dernier n'est pas bien.
____Luna, Margueria Sandovar. C'est la tante d'Enrique. Celle chez qui il vit. C'était également la soeur de Salma, la mère d'Enrique. Elle a 33 ans, et elle a... Un long vécut. D'ailleurs, elle a toujours eut l'air totalement à l'ouest avec ses conneries de spiritismes, etc... Elle est croyante, et c'est une sorcière. Enfin, ce qu'elle dit ( pourtant, c'est la vérité, mais tout le monde doute ). Elle a une petite fille de 4 ans qui est dû à un viol dont elle aurait été victime. Sa petite fille s'appel Maïa.
____Le reste de sa famille est dispatché. Généralement, on la retrouve vers les côtés de San Diego, ou encore Los Angeles. Mais le reste est encore au Mexique. Et les deux côtés de sa famille.

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o3. le caractère en profondeur.

Enrique... Comment définir cette tête pleine de connerie ? Le truc, c'est que... Voyez vous, il est humain. Latino, de surcroit. Et son honneur compte tout aussi bien qu'il a de la confiance en ce qu'il fait. Du moins qu'il laisse penser. Car en réalité, il n'a aucune confiance en lui. Non. Enrique analyse beaucoup, regarde beaucoup. C'est le genre de type qui a plein de rêve en tête pour pouvoir améliorer le monde dans lequel il vit. Selon lui, il est trop corrompu par la nature humaine. C'est un grand revolté, un rebel dans l'âme. Il ne supporte pas la soumission, et il arrive, que difficilement, à respecter un règlement. Règlement qu'il transgressera une bonne dizaine de fois, avant de le connaître un tant soit peu. C'est un garçon très intelligent, et qui réfléchit beaucoup. Il aime pas se prendre la tête, mais c'est ce qu'il fait le plus souvent. Passionné de Biologie, il avoue avoir une certaine attirance pour l'occulte. Une curiosité, quoi. Il sait que sa tante ne peut être complètement folle. Il tente de la comprendre, mais c'est dur. Il faut le reconnaître. Cependant, il a déjà vu des choses invraisemblables... Ou des choses que sa tante ne savait pas, et qu'elle lui a pourtant dit les choses alors qu'elle n'avait jamais été sur les lieux de la chose... Ou le prévenir des choses qui vont se passer la seconde qui va suivre... C'est un homme très curieux, et surtout qui est passionné d'Art. Bref. Enrique, c'est un monde. Et pour le comprendre, il faut se lever tôt, très tôt.

Il est dans un groupe de rock qui commence à se faire bien connaître aux Etats Unis. Le nom du groupe, c'est : « Son Of Sam ». Un groupe qu'il a fondé avec des potes d'enfances. C'est un univers assez... Propre à eux. Mais c'est comme cela qu'il fait sortir sa haine. Il aime énormément de choses... Il aime la musique, tous les genres de musique. C'est pas quelqu'un de très difficile, mais il a une large préférence pour le rock. Sinon, c'est quelqu'un qui aime les plaisirs simples. Il n'est pas chiant. C'est vraiment pas le genre de type à faire chier pour obtenir quelque chose. Sinon, il aime passer du temps avec ses amis. Il aime les relations humaines, quoi. Mais c'est aussi quelqu'un de très ouvert, quoique... Dur d'être ouvert lorsque l'on est croyant.

Son père ou toutes choses qui pourraient lui rappeler son géniteur. Même lui dire, qu'il ressemble à son père peut le mettre dans une colère des plus noirs. Il s'est fait viré de son collège lorsqu'il était plus jeune, lors de sa première année. Enrique ne l'aime pas, il ne le supporte pas. Il a beaucoup de peur, il a les peurs d'un homme. Il a peur de la mort, il a peur du noir, il a peur de l'inconnue, mais il s'efforce toujours de serrer les dents pour avancer. Le truc, c'est qu'il sait reconnaître ses faiblesses, mais qu'avec lui même, car lui, il ne l'admettra jamais à quelqu'un. Il est très fier. Puis, il a également cette peur de perdre les gens qu'il aime...

Enrique vit dans un milieu pour le moins étrange. Pas très riche, mais surtout, extrêmement tourné vers l'occulte et les sciences magiques. En effet, sa tante, chez qui il vit, possède un magasin dans le genre. De plus, elle serait sorcière, etc... Etant originaire des pays latins, cette dernière ne serait pas une si grande tête en l'air, comme on ne cesse de le dire... Car généralement, ce qu'elle prévoit, ça marche.

C'est un garçon qui ne semblerait ne pas avoir beaucoup de rêve, sinon, celui de laisser voir la vie venir. Il ne sait pas encore ce qu'il compte faire, même si l'idée de devenir chirurgien lui tenterait bien. Chirurgien, ou tenter d'entrer dans la police pour finir Lieutnant dans la crim'... Enrique semblerait avoir pour envie, tout ce que son père n'aurait pas aimé qu'il soit. Ou du moins, tout ce que son père n'avait pas pensé à faire faire à son fils. Enrique se veut libre. Il fera donc, ses choix, ses propres choix, même si inconsciemment, il les fait pour faire chier son père.

o4. l'apparence compte.

Enrique n'est pas quelqu'un de bien grand. Mesurant à peine le mètre 72, il se montre être quelqu'un de particulièrement charismatique, cependant. Il est là, on le regarde. Il a une présence qui fait qu'on est obligé de poser son regard sur sa personne, même si on tente de fuir son regard. Comme si il possède quelque chose de magique. Sa tante dit souvent que c'est à cause de son fort caractère et que cela se répercute sur son charisme. Que les gens sont sensibles à sa personne bien malgré eux, que même si ses origines lui donne un air sombre, un air ténébreux, c'est une bonne personne. Un teint de peau halé, voir dorée, pour ne pas dire légèrement basané, Enrique a un cheveu d'une noirceur intense. Une chaleur semble s'en dégageait. Il possède aussi deux yeux d'un noir subtil... Et à la lumière du jour, ces derniers sont d'une jolie couleur noisette. C'est une bizarrerie qui lui vient de la famille de sa mère. Pas gros, pas maigre, mais pas musclé, c'est un garçon qui est, cependant, bien bâti. Qui a les choses là où il faut, sans pour autant être musclé. Enrique est loin d'être l'objet de tous les fantasmes. Pourtant, il a un sourire qui en rend plus d'une, totalement barge. C'est quelqu'un de particulièrement impulsif, et cela se voit... Son visage marque bien chacune des expressions qui reflètent bien ses différents états d'esprits. C'est un jeune homme normal, je pense.

Alors, là, c'est vraiment pas quelque chose en quoi il attache beaucoup d'importance. Il aime bien s'habiller oui, mais c'est en fonction du budget du moment. C'est pour cela qu'il cherche, un boulot, en parallèle, car maintenant que Luna, sa tante, a une héritière, la boutique ne lui reviendra pas. Et heureusement. Non... Enrique a une façon de s'habiller qui se révèlerait être très rock, très débraillé. Ses couleurs de prédilections restent, cependant, le chocolat, le sable, la crème, et le noir. Il aime énormément le kaki, et les couleurs pastels... Surtout le bleu et le vert.

Il a le tatouage des Oleivera. A son plus grand damn'. Au début, il était question qu'il ne le fasse pas. Il avait suffisamment tenu tête à son père pour que ce dernier finisse par lui accorder la chose. Néanmoins, c'est son frère qui lui demanda cela. Et pour l'une des rares fois, Luna approuva. Voyant que Luna et Alonsò semblaient cacher quelque chose, mais qui semblaient si sûr d'eux, Enrique se laissa tatouer par son père la croix du christ sur son avant bras gauche, sur le côté le plus claire de sa peau. Il a aussi une molaire de casser, molaire qui est réparée par un plombage. Puis, il a une très belle entaille au niveau du flanc droit, suite à une bagarre assez balèze où il faillit perdre la vie. Tout ce qu'on peut rajouter, c'est qu'Enrique a connu beaucoup de choses dans sa vie.

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o5. la biographie.

Il est né alors que le soleil se consumait doucement à l'ouest. Le visage éclairé par les derniers rayons, c'est à ce moment là que son père lui donna les noms de : « Enrique, Gregorio, Benito ». Le regard de son frère sur son petit frère, l'étreinte d'une mère sur son nourrisson, la main de son père sur son front, l'on voyait la parfaite petite famille de Latino, venu vivre aux Etats Unis, dans la ville des Angelinos pour tenter de se faire une vie confortable, et surtout, une toute nouvelle façon de vivre. Mais aux Etats Unis, si on est pas blanc, on a pas le droit à toutes les aides possibles... Et on est vite mis de côté. Ce qui arrive à ce moment là... Ceux sont les pires tentations possibles... Et malgré l'amour que se portait mutuellement Salma et Güiza... Malgré que ce soit le fondement de cette petite famille pleine d'amour, il sombra dans l'ivresse de la revente de drogue, pour ensuite intégrer le cercle fermé de la mafia mexicaine... Et depuis ce jour là, la famille a commencé à s'effriter comme un château de sable sous une petite brise de la baie de Los Angeles, où le grand João Rodrigues Cabrilho a foulé le sol pour la première fois.

L'éducation d'Enrique ? Elle fut comme celle de son frère. Comme il la voulait. Malgré tout ce que sa mère faisait pour qu'il aille à l'école, Enrique passait le plus claire de son temps à jouer au Soccer, dehors, avec les autres gamins de son quartier sous le regard protecteur de son grand frère et de ses potes. De tout jeune, il fut mis à nu devant la violence humaine, et il ne lui fallut pas longtemps pour voir la première fusillade, dans laquelle son père participa ardemment. Manquant de se faire tuer, il sauva son fils qui était resté tétaniser devant la scène, le ballon dans ses mains, le pantalon mouillé par l'urine de la peur. C'est également à ce moment là où il vit, pour la première fois, un homme tombé à terre pour ne plus jamais se relever. Et c'est également à ce moment là, où il vit, la brutalité et la haine que son père avait. Mais aussi, et ça, il ne pouvait pas que s'en douter, la peur de perdre l'un de ses fils. Lorsqu'il fut mis de côté, protéger, et que son frère put le prendre dans ses bras pour le réconforter, il s'était mis à pleurer. Mais il se souvint, qu'au dessus d'eux, il y avait eut comme une ombre avec des ailes. Il n'avait rien vu de bien précis... C'était trop sombre, à cause du soleil qui tapait derrière la silhouette, mais lorsqu'Alònso leva la tête, la chose avait disparue. Enrique s'était assis, posant la tête contre son frère. A ce moment là, il avait que 4 ans.

Mais cela ne l'avait pas arrêter de retourner dehors, le lendemain, pour reprendre sa partie de Soccer. Et cela continua ainsi jusqu'à ses 7 ans. Car à ce moment là, alors que pour la première fois de sa vie, il s'était levé avec la joie d'aller à l'école pour rendre son expérience de science avec qui il avait ardamment travaillé avec son frère, son père et sa mère, et qu'il rentra, avec un A⁺ qu'il découvrit l'horreur. Ce fut lui, et lui seul. Son frère n'était pas encore rentré du collège. Son père n'était pas rentré non plus... Et sa mère... Sa mère était allongée sur le canapé d'une façon obscène, le corps lacéré de coups de couteau, les jambes écartés. Dans la maison, les croix avaient été retourné, et les rideaux tirés. Dehors, la rumeur comme quoi, le gang des BLOOD aurait zoné dans les lieux, provoquant la mort de plusieurs personnes. Certains dirent que c'était par vengeance d'un coup... D'autres que c'était plus profond que ça... On se souvient même de cette petite vieille latina qui s'interposa entre un latino et un black, en criant : Ce n'est pas lui, ce n'est pas lui ! C'est le démon ! Le démon ! Tout le monde la prit pour une folle, mais le pauvre black lui doit la vie. Néanmoins, l'on ne comprit jamais pourquoi Lui, et Eux étaient venus. Enrique se perdit, et pendant un an, il s'isola, perdant le sens de la parole, pour ne plus jamais reparler comme avant, comme le petit garçon innocent qu'il avait été. Depuis ce jour, il lui arrive de faire souvent des cauchemars où il y a une présence horrible... Et où sa mère apparaît pour lui tendre la main, comme pour le sortir de son cauchemar. C'est cet année là, qu'il toucha pour la première fois une guitare. Il s'y plongea corps et âme. Surtout qu'elle avait appartenu à sa mère. Et rapidement, il en apprit les fonctions. Il jouait avec sa douleur et sa peine refoulée pour émouvoir son frère qui était le seul à avoir le courage de le regarder jouer. Son père, lui, quand il était là, était enfermé dans la salle de bain, à pleurer chaque larme de son corps, tellement la musique était belle, et douloureuse. Et à chaque note, il sentait son fils partir. S'éloigner de lui.

Durant l'année de 7 ans, il ne parla plus à personne. La seule personne à qui il parla, ce fut à Lui. Et ce fut après, les cours. Puis, un beau jour, alors que son père rentrait dans sa chambre pour l'embrasser, il se mit violemment en colère, et l'insulta de tous les noms, comme si il était possédé par le diable en personne. Il en pleurait et tout ça. Güiza était tellement surpris, qu'il en resta con, se laissant taper par son gamin, bien que ce dernier ne lui faisait pas bien mal. A la suite de cela, il fit un stage dans un hôpital psychiatrique où il refusait de voir son père. C'est à cet époque où il se lia d'avantage avec Alònso. Et enfin, lorsqu'il put sortir, les services sociaux le placèrent chez sa tante à Phoenix, selon les désirs d'Enrique. Car selon Enrique, Güiza était quelqu'un de beaucoup trop violent. On comprendra plus tard, que le choc de voir sa mère ainsi, et le pétage de plomb qu'il eut contre son père, eut fait de mélanger tous ses souvenirs les plus déstabilisant. C'est donc, à l'âge de 8 ans, qu'il arriva, pour la première fois, à Phoenix, où il fut élevé par sa tante, la soeur de sa défunte mère. Elle était un peu timbrée... Mais elle au moins, le croyait, quand il disait que des fois, il y avait des présences étranges.

« Salut ! Tu t'appel comment ? »

demanda t il, avec une jeune fille à côté de lui.

« Je m'appel Enrique. Mais je préfère qu'on m'appel 'Rico. »

« Cool ! C'est plus cool, 'Rico ! J'ai vu que tu tirais la tête quand elle t'appelait comme ça la maîtresse... »

Enrique avait acquiescer d'un signe de tête regardant la jeune fille qui lui souriait d'un air totalement relaxé, presque avec une pointe arrogante. Le gamin, qui lui avait adressé la parole, reprit :

« Moi, c'est Lorenzo. Mais tout le monde dit ' Enzo '. Et elle, c'est Kirsten ! Tu veux être notre ami ? »

Kirsten, la petite blonde eut un sourire encourageant, et Lorenzo lui tendit la balle rouge qui était attaché à l'aide d'un fils au poteau.

« D'accord. »

Et ce fut aussi simple que ça. Oui, son intégration dans l'école, Enrique la doit à ses deux là, qui sont aujourd'hui, ses deux meilleurs amis qu'il n'a jamais laissé, et qui ne ceux sont jamais lâcher. Avec eux, il retrouva rapidement la joie de vivre, et il se découvrit sous un nouveau jour. Ce n'était plus Enrique. Mais c'était 'Rico. C'était ainsi qu'on le voyait, désormais. On le voyait comme le petit Latino rieur, et déconneur. Il montra rapidement un goût pour les maths et la S.V.T. C'était un bon élève... Mais son écriture était à faire peur... Et il était bourré de fautes, à son plus grand damn'... Lorenzo était toujours mort de rire, lorsqu'Enrique insultait la maîtresse en náhuatl. Elle n'y comprenait rien, cette conne d'américaine « Old Stock » disait il, un sourire au coin des lèvres.

Les années passèrent ainsi, et les liens d'amitiés qu'il avait avec Lorenzo et Kirsten, s'aggrandirent. De jour en jour, ils se rapprochèrent, jusqu'à devenir tous les trois très intimes, comme des frères. Et il n'y avait qu'entre eux envers qui ils avaient réellement confiance. Peu de temps après leur rentrée au collège, Lorenzo leur dévoila qu'il jouait du synthé sur celui de sa soeur, et qu'il fallait à tout prix qu'ils viennent à la maison voir. Une fois là bas, ils le virent jouer, et la première chose qu'ils eurent en tête, c'est... Et si ils montaient un groupe comme GODSMACK, NIRVANA, par exemple... Cet idée les séduisit énormément. Enrique leur montra son talent à la guitare, et Kirsten jura de se mettre à la basse. Son père étant producteur, ils avaient déjà un endroit où jouer. De plus, comme elle leur dit, ça lui ferait plaisir qu'elle en fasse... C'est donc, durant leur collège qu'ils se mirent doucement à la musique, jouant les meilleurs morceaux de NIRVANA, et pleins d'autres... Bon, côté note... Enrique se laissait fortement aller dans toutes les matières, sauf en Biologie et en chimie. C'était des matières qui arrivaient à lui maintenir une attention particulière... En dessin, il fut tout bonnement interdit de pratiquer cette matière car il avait insulté la prof. lorsqu'elle avait dit que de toutes façons, ce qu'il faisait, c'était nul. Là, il la regardait, et la traitait de raciste, avant de lui envoyer son dessin dans la gueule et de lui cracher dessus. Oui, Enrique est assez directe, m'enfin, bon. Kirsten, et Reese ( un pote avec qui ils se sont mis à traîner vers the 8th grade ) purent garder cette matière bien que la prof semblait être beaucoup plus enclin à les voir dégager de sa matière qu'autre chose. On peut dire que son middle school se passa plutôt bien, grapillant les niveaux sans trop de problèmes hormis dans les langues, excepté l'espagnol dont il s'en sortait avec l'une des meilleurs moyennes de Phoenix.

C'est durant les vacances qui séparaient le middle school et le high school qu'ils décidèrent de créer un groupe de rock à mélange rap pour garder des origines musicales de Lorenzo qui était plus branché rap. « Son of Sam » Basé sur le mysticisme du fait que ceux sont les enfants des Etats Unis, et non du reste qu'on attache aux Etats Unis. Notamment, le gouvernement, etc... Rapidement, ils se mirent à écrire, enfin, rapidement... Ils sont en troisième année de Lycée, et ils n'ont écrit qu'une dizaine de chansons sur lesquels il doit y avoir à tout casser, 5 avec une mélodie complète. En ce qui concerne l'école, c'est au Lycée de la Renaissance où il alla, en compagnie de ses potes. Un lycée étrange, mais récent d'après ce qu'il paraissait. Quoiqu'il en soit, pour lui, le High School est la meilleure période des études... Et on se demande bien pourquoi... *roll*

VIOLENT SAINT. Messages : 168 Date d'inscription : 27/10/2008 Age : 34

o6. ce qu'il reste, et la fin de la fiche.

Alejandro Sanz.

zZero. ou BenJ'.

18 ans.

...

Mwoui... Bah, voilà, il est là mon commentaire.

Messages : 88 Date d'inscription : 27/10/2008

Validéééééééééééééééééééééééééé enfin c'est pas que je sois si enthousiaste que ça Rolling Eyes

VIOLENT SAINT. Messages : 168 Date d'inscription : 27/10/2008 Age : 34

» la famille Oleivera, Almadovar, ... - uc.
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» Jète toi à l'eau, tente ta chance. {Enrique}