| | | « On crévera chacun de notre côté. » |  |
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Lily G. Cohen
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| | | | | Lily G. Cohen
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|  Sujet: Re: « On crévera chacun de notre côté. »  Sam 8 Nov - 2:37 | |
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« La vie est soeur du hasard. »
fiche de présentation.
o1. une identité de façon générale.
NOM. Cohen. C'est le nom typiquement juif.
PRENOM. Lily Gabrielle Zara. Lily signifie signifie « dieu a fait le serment ». Son père l'a ainsi nommé dans le sens où Lily est un prénom plein de douceur, qui révèle le caractère intérieur de la jeune fille. Gabrielle est le nom stéréotype de l'ange. Pour une juive, ce prénom revient du don divin. Il signifie « force de dieu ». Finalement, Zara est un prénom peu connu. Son père a longtemps hésité avec Sara mais a décidé, avec sa femme, de nommer sa fille Zara, qui se traduit par « la princesse ».
AGE & DATE DE NAISSANCE. Née le 6 Juin, elle est âgée de 16 ans.
LIEU DE NAISSANCE. Elle est née à Little Rock City, dans l'Arkansas.
ORIGINE GEOGRAPHIQUE. Amérique, elle vient de l'Arkansas.
ORIGINE SOCIALE. C'est assez stéréotypé pour des Juifs, mais les Cohen sont des gens très riches. Le grand père de Lily était un grand joallier, mais son fils aîné, le père de Lily, a préféré la musique au milieu intellect de son frère cadet, aussi, il s'est retrouvé à la tête d'une radio et se retrouve à commenter les grandes élections de rockstars et reçoit tous les matins, de 6H à 10H, les futurs stars. La mère de Lily est archéologue. Elle est la directrice du Museum d'Histoire Naturelle de Washington.
ANNEE DE LYCEE. 11th. Elle a sauté une classe.
TITULAIRE DU PERMIS. [X] Oui. [] Non.
NOM DU PERE. Jules Cohen, 37 ans.
PROFESSION. Animateur d'une radio 'rock'.
NOM DE LA MERE. Lisbeth Blumenfeld, 36 ans.
PROFESSION. Directrice du Musuem d'Histoire Naturelle de Washington.
BREF HISTORIQUE.
  lisbeth blumenfeld & jules Cohen
Jules et Lisbeth se sont connus très tôt dans l'enfance. Voisins, Jules a toujours sucité la curiosité de Lisbeth, tout simplement car ce dernier était particulièrement populaire, et elle, particulièrement timide. Alors que Jules était connu avec ses trois frères, Libsbeth essayait tant bien que mal de s'effacer derrière ses deux soeurs. C'est à l'adolescence que Jules Cohen a posé les yeux sur Lisbeth comme un homme sur une femme, et non plus comme un gamin sur une amie. Du jour au lendemain, il a juré qu'il se marierait un jour avec elle. Lisbeth, intellecte de la famille, benjamine de la famille, a toujours eut le goût du travail, et grande fut sa déception quand elle comprit qu'à l'âge de seize ans, elle était déjà enceinte de son mari. Jules était riche, mais ils ne pouvaient plus vivre sous le toit de leurs parents, aussi Jules, gonflé à bloc de musique et d'utopie, se rendit dans une petite boîte, claire, avec vingt employé, avec du bon son, mais pas d'animateur, et il se présenta. Durant des années, le bouche à oreille fit son effet, et la radio prit un réel essort. Alors que Lisbeth suivait des cours tout en élevant sa fille, Jules faisait sa carrière dans la radio. Alors que grandissait la jeune Lily, plus souvent seule ou avec une nourrice qu'avec ses parents, les disputes éclatèrent de plus en plus souvent. Jules restait ce jeune adolescent infatiguable alors que Lisbeth était d'avantage réfléchie et posée. Quand Lily eut treize ans, ses parents divorcèrent. Son père déménagea à Phoenix et sa mère à Washington. Il fut décidé que Lily passerait seulement les vacances chez sa mère. Lily n'a jamais réellement lié de lien avec ses parents, tout d'abord car l'un comme l'autre ont des défauts qui ne sont pas acceptables pour des parents, et d'une autre part car elle ne supporte pas le fait de les voir aussi pitoyable. Entre l'alcoolique qu'est sa mère, et le drogué qu'est son père, elle ne supporte pas tellement la vue de cette dégradation silencieuse. C'est d'ailleurs une des raisons qui l'a poussé à emménager seule à son âge à Phoenix.
 elie daybreak
Son cousin, sa mère est la soeur de Lisbeth. Pendant longtemps, Lily a du grandir seule. Retirée dans l'Arkansas, c'est à l'âge de cinq ans qu'elle eut un premier contact avec son cousin, son aîné d'un an. Elle a tout de suite eut une grande admiration pour Elie, et s'est tout de suite attachée à lui. Depuis ce jour, Lily n'a jamais lâché Elie, et l'a toujours soutenu dansn'importe quelle affaire pour la simple et bonne raison qu'elle aime vraiment son cousin et qu'il est le seul être qui trouve grâce à ses yeux. Lily était une personen n'ayant plus aucune confiance en l'humanité, elle accorde cependant une réelle valeur à la vie d'Elie et à son bonheur. Elle ne supportera sans doute jamais que qui que ce soit lui fasse du mal ou lui en veuille et s'en mêlera plus que facilement.
  sophia lynn & erika daybreak
Elles sont les petits soeurs d'Elie. Lily, en bonne arrogante qu'elle est, ne supporte pas les deux soeurs qui sont tout ce qu'elle n'a jamais eu : la féminité, et surtout la plus grande proximité sanguine avec Elie qu'elle. Pour elle, Sophia Lynn et Erika ne sont que des pièces poussiéreuses, dont ou pourrait se passer. Elle n'accorde pas de réelle valeur aux deux jeunes filles, et la pluspart du temps les ignore littéralement. Il est très dur pour Lily de ne pas être désagréable avec les personnes qu'elle n'aime pas, mais avec Sophia Lynn et Erika, il lui semble plus facile de les oublier que de leur faire part de son mécontentement. Il semblerait cependant qi'elle est plus de facilité à parler avec Erika qu'avec Sophia Lynn.
 louise blumenfeld & andrew daybreak
Sa tante, soeur de sa mère, et son oncle. Il s'agit de personnes qu'elle estime énormement dans le sens où elle les a presque toujours cotoyé, et qu'ils étaient les premier à se proposer lorsque cette dernière n'avait personne à la maison pour la garder. Elle a souvent été 'oublier' devant l'école et a fini dans la maison des DayBreak. Elle connaît chaque recoin de la maison et les caractères de son oncle et de sa tante, ainsi que leurs habitudes. Elle accorde beaucoup de respect à ses deux personnes. Sans doute plus qu'à ses propres parents.
 jasper, jules, edward et david cohen
Oncles de Lily, et frères de son père, elle ne les a jamais cotoyé et ne prefère ne même pas les connaître. Ils sembleraient cependant qu'à la Renaissance, il y est réellement des hérétiers de sa famille qui on la curiosité de la rencontrer, curiosité qu'elle ne partage pas spécialement, d'ailleurs.
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| | | | Lily G. Cohen
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| | Sujet: Re: « On crévera chacun de notre côté. » Sam 8 Nov - 23:25 | |
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« You are prideful. You can't go on being aloof.
Your complete existence is why someone wouldn't love you. »
o3. le caractère en profondeur.
CARACTERE.
« Il y a quelqu'un chose qui, dans Lily, nous réchauffe. Elle irradie l'obscurité dont nous sommes fait, mais elle la rend plus obscure encore. C'est ainsi qu'est Lily. Son caractère n'est qu'une façace fade, sans valeur. Parmis tant de filles, on ne la reconnaîtrait pas, pour la simple et bonne raison qu'elle ne veut pas se faire remarquer. Être populaire, être reconnu, ça ne l'intéresse pas. Guérie de la popularité, alors que tout le monde la connaît, Lily reste cependant invisible dans la grande masse. Personne ne peut la connaître. Elle est comme un chat sauvage, rapide et rusée, de quoi frustrer les plus curieux. On n'a jamais vu quelqu'un, hormis Elie, pouvoir dire connaître en profondeur la jeune fille. Lily n'a jamais eu d'amis, plus depuis qu'elle a sept ans. Car Lily est un animal blessé, elle n'apprécie pas qu'on l'approche ou qu'on lui parle, ne serais-ce que le fait d'être regarder la met en rogne. Lily n'a plus aucune confiance en l'humanité. A la façon de Larochefoucault, pour elle, tout acte est intéressé, toute gentilesse attend une certaine reconnaissance, toute attention mérite salaire, et ça, elle ne le conçoit pas. Elle défit dès lors les lois de l'homme naturel, ainsi, Lily est la personne la plus seule au monde dans le sens où, hormis Elie, elle n'a aucun lien avec l'extérieur. Elle participe au cours sans jamais parler, elle n'adresse aucune parole à personne, ne répond à personne, ne mange avec personne, et ne parle pas même à ses parents si ce n'est pour leur demander de l'argent. Le monde de Lily est ainsi. Petit et rempli de dédain, de mépris pour toute la médiocrité qu'elle n'arrive pas à supporter, cette médiocrité qui anime, pour elle, chaque être humain. Ce dédain totale de l'humanité l'a d'ailleurs fait avancer, intellectuellement, plus rapidement que n'importe qui. En effet, Lily n'est pas un adversaire à croire faible et fragile. Intelectuellement, elle dépasse bien des plafonds, surtout en philosophie, et physiquement, il n'y a pas grand chose à lui reprocher.
Derrière ce miroir sage et de glace, Lily est cependant une fille très expressive. Ces yeux dévoilent la quasi totalité de ses sentiments, car oui, la jeune Cohen ressent bien plus de chose qu'on ne puisse le croire. C'est d'ailleurs ce qui fait sa force. Lily connaît un très grand sang froid et une maîtrise de soi impressionante, qui la caractérise dans toutes les épreuves difficiles, et même si elle ne supporte pas certaines choses, elle reste froide et distante à toutes occasions où l'on paniquerait.
Lily est cette personne à l'humour corrosif, tout particulièrement cynique, qui se cache derrière un simple jenfoutisme pour cacher ces plus grandes peurs. Car on ne peut pas être bon partout. Arrogante, sa fierté est ce qui dicte chacun de ses mouvements. Elle ne vit que pour ses seules convictions, et tout le monde sait combien elle croit en ce qu'elle voit, et qu'elle voit en ce qu'elle croit. Elle répond mauvaisement quand on lui adresse un pic, ou alors sourit, en demandant qui a parlé, pour au final le descendre plus bas que terre, car Lily est une fille calme, qui peut faire mal sans même user de ses poings. Son extrême fierté et son arrogance sont une de ses qualités les plus flagrantes : jamais elle ne se laissera abattre et veut sans cesse sortir la tête de l'eau pour montrer à tout le monde qu'elle peut le faire, qu'elle est forte. Car Lily est forte. Son caractère est fait pour qu'elle résiste à tous les coups durs, même les plus pénibles, et pour à son tour faire le pire que l'on puisse imaginer.
Car Lily n'est pas un ange. Loin de là. »
HOBBIES & ACTIVITES
« Lily, la calme et douce Lily en journée, devient une vraie lionne la nuit. En tant que gémeaux, son caractère à double tranchant lui donne des allures de mauvaise fille quand le soleil n'est plus. Seule et libre, sans parents derrière elle, Lily a eut le temps d'avoir et d'accepter certaines activités pour qu'enfin elles viennent des hobbies, des loisirs. Imaginez vous, trois heure du matin, les rues désertes de Phoenix où tous les chats sont gris, et à quelques mètres dans la brousse, sur les longues routes d'Amérique, une vingtaine de voiture ou de moto roulant à des vitesses excessives dans le seul but de franchir une ligne. Vous avez bien compris. Lily est une de seule fille à s'être imposer dans la matière. Le jour, en bonne élève, et la nuit, en conductrice accro. Avec une Mustang Fox carburée, une Cabriolet violette et sa bonne Ducati, Lily s'amuse avec sa vie, car sa grande passion, c'est 'faire des choses pour essayer'. C'est ainsi qu'elle vit. Elle s'amuse de ses respirations, joue à faire de l'apnée dans le bain jusqu'à que l'air manque réellement, s'amuse à s'enfoncer tant d'aiguilles dans les veines que ses yeux deviennent blancs, roule jusqu'à que le moteur explose s'il le faut. Lily n'est pas aussi calme la nuit qu'elle l'est le jour. Baladez vous à trois heures du matin dans l'Est de Phoenix, et sans doute vous la croiserez.
Elle joue aussi, depuis qu'elle a huit ans, au baseball. Elle aime ce sport dans le sens où il ne s'agit pas réellement d'un jeu d'équipe. Elle s'entend assez bien avec son équipe : elle ne leur parle pas, mais ils comprennent qu'elle est un atout pour l'équipe.
Sa passion du jour, plus calme, et moins dangereuse, reste sans doute la lecture. Elle voue un culte à sa bibliothèque. Enfin, pour compléter ses occupations silencieuses, elle est artiste, dans le sens où c'est elle qui a fait la décoration de son appartement, le trompe l'oeil de sa chambre, et tout le reste. Tout ce qu'elle touche devient de l'or, même avec rien. »
PEURS & DEGOUTS
« Elle ne supporte pas qu'on face preuve d'affection avec elle, pour la simple et bonne raison qu'elle ne supporte l'être humain. Elle voue une vraie hantise contre l'Humanité entière, et reproche tout et n'importe quoi à n'importe qui en leur disant qu'après tout, toute 'action est intéressée, même la plus désinteréssée'. Elle ne supporte pas qu'on la prenne pour ce qu'elle n'est pas, et qu'on la prenne pour quelqu'un de faible. Elle ne supporte pas grand chose des autres, mais ce qui la dégoûte le plus, reste le contact charnel. Quiconque la touche la voit se reculer rapidement et pester, car la touche reviendrait à la souiller. »
QUELQUE A NOTER?
« Si Lily ne dort pas la nuit, c'est uniquement qu'elle est insomniaque. Habituée plus jeune à prendre toute sorte de méicament pour dormir alors qu'elle n'était qu'une gamine de quatre ans, foutant la paix à ses parents overbookée, aujourd'hui, les médicaments, même les plus forts, ne font rien, aussi, Lily vit en dormant deux heures chaque nuit, hormis le Mercredi. Chose rare, elle dort l'après midi du Mercredi pendant sept heures d'affilés, mais le reste de la semaine, Lily est pris de crise d'angoisse quand elle se retrouve dans le noir, et surtout, dans son lit. »
SES PROJETS.
« Lily n'a aucune idée de ce qu'elle veut faire. Elle se voit déjà écrivain inconnue au fond d'un grenier miteux, ou faussaire psycopathe, mais ne prefère pas s'avancer sur son avenir. Après tout, elle pense qu'il est déjà tout tracé. »
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| | | | Lily G. Cohen
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| | Sujet: Re: « On crévera chacun de notre côté. » Dim 9 Nov - 0:37 | |
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« Avec le canon d'un flingue entre les dents,
on ne prononce que les voyelles. »
PHYSIQUE.
« A un nom d'ange, un corps d'ange. Les courbes de Lily ressemblent vaguement aux formes angéliques dont on rêve quand on prend conscience que la beauté n'est pas qu'une affaire de grosses poitrines et de cuisses bombées. Non, Lily est la grâce et la douceur même. Ayant beaucoup hérité de son père, elle partage avec lui une chevelure auburn, tirant sur le noir lors de l'hiver, et sur le châtain lors de l'été. Ces cheveux sont toujours impeccablement lavés à l'eau froide, tout simplement car elle déteste qu'ils soient rèches, ça n'est jamais très pratique quand on sort d'une soirée qui se finit à sept heures et qu'on a pas le temps de passer une demi heure sur des cheveux délicats, et puis, l'hygiène compte beaucoup pour elle. Elle n'est pas comme toutes ses filles, manicurées, avec un broshing tous les matins, mais elle reste noble d'une certaine façon. Grande et fine, avec des hanches élancées, Lily représentait jusqu'à qu'elle ait des formes, l'ange nébuleux, avec une peau très blanche et des yeux très bleux. Car pour avoir des yeux bleux, Lily en a vraiment. D'un magnifique bleu profond, d'un pâle pastel, ils sont d'une profondeur honteuse, et l'on pourrait facilement s'y noigner. Expressifs, ses yeux expriment la quasi totalité de ses sentiments, la rendant presque humaine, mais Lily ressemble d'avantage à une poupée de porcelaine avec une peau très blanche et fraîche, une peau de porcelaine.
Son visage se décline avec délicatesse et tendresse. Un petit nez droit domine deux longues et fines lèvres rose thé, d'une pâle saveur de cerise et de fraise, tandis que ses yeux attrapent presque aussitôt toute votre attention. Avec des yeux d'un bleu sibyllin, ourlés de longs cils noirs, ils ont comme une teinte nébuleuse, où l'on croit parfois apercevoir plusieurs nuances de bleus, comme si des remous étranges s'y formaient. Les yeux de la jeune fille sont cependant étranges, dans le sens où il arrive que le poutour de ses iris deviennent presque violets, décorant ces derniers d'une couleur magnifique. C'est sans doute la chose la plus jolie chez Lily avec sa démarche.
Lily a une démarche bien particulière. On la croirait reine, on la croirait princesse. Elle se tient toujours droite, même quand elle devient une furie, et son regard est toujours le même, droit et hautain, tenant tête à n'importe qui qui se dresserait devant elle. Noble et digne à la fois, Lily marque les esprits de par sa présence, mais ne s'y attarde jamais. Son corps fin et souple lui a souvent servit dans les violentes baggares où elle prend part. En bonne batteuse, elle a dû se faire une raison que de posséder un corps finement musclé, ce qui n'entache pas la beauté de sa féminité, celle qu'elle croit ne pas posséder.
Lily est une poupée de porcelaine, certes, mais qui tient une batte de baseball dans une main. »
HABITUDE VESTIMENTAIRE
« Elle n'a de style vestimentaire défini. Elle s'habit avec ce qui lui passe sous la main et ne cherche pas bien loin. Sa garde robe est cependant composé de beaucoup de linges se ressemblant, dans le sens où elle n'apprécie pas énormément le changement. S'habillant le plus souvent d'un jeans et d'un chemisier blanc, elle nuance ses affaires dans les tons blanc, gris et noir. Elle porte bien souvent de grosses lunettes noires, non par pour le style, mais tout simplement car ses insomnies forment sur son visage parfois de très mauvaises cernes, et les baggares ne sont pas sans risque. Les oeils au beurre noire, ça attire l'attention.
Elle porte une chaîne fine d'argent qui est relié à une clef. Tout le monde se demande de qui elle la tient, et à quoi sert cette clef, mais Lily prefère de loin se taire à ce sujet. Ca ne sert à rien de remuer la merde après tant d'années. »
QUELQUE CHOSE DE PARTICULIER?
« Pour un petit corps comme elle, la frappe de la batteuse est extraodinairement forte. On douterait comme ça, mais Lily a tendance à faire mal quand elle frappe, même quand il s'agit que de son poing. Peu de personne s'étant battu avec elle s'en sont sortit »
QUELQUE A NOTER?
« Si Lily ne dort pas la nuit, c'est uniquement qu'elle est insomniaque. Habituée plus jeune à prendre toute sorte de méicament pour dormir alors qu'elle n'était qu'une gamine de quatre ans, foutant la paix à ses parents overbookée, aujourd'hui, les médicaments, même les plus forts, ne font rien, aussi, Lily vit en dormant deux heures chaque nuit, hormis le Mercredi. Chose rare, elle dort l'après midi du Mercredi pendant sept heures d'affilés, mais le reste de la semaine, Lily est pris de crise d'angoisse quand elle se retrouve dans le noir, et surtout, dans son lit. »
SES PROJETS.
« Lily n'a aucune idée de ce qu'elle veut faire. Elle se voit déjà écrivain inconnue au fond d'un grenier miteux, ou faussaire psycopathe, mais ne prefère pas s'avancer sur son avenir. Après tout, elle pense qu'il est déjà tout tracé. Qui sait, peut êre qu'elle finira première femme championne au monde de baseball? »
L'histoire de Lily s'inscrit en plusieurs épisodes. Ils viendront après, pour l'instant, je vous laisse découvrir la plage des titres qui sauront, qui sait, peut être vous renseigner sur son parcours et donc l'évolution de mon personnage jusqu'à aujourd'hui.
chapter O1 la première fois
chapter O2 le sourire de gabriel
chapter O3 la fin d'un bout du monde
chapter O4 le suicide sentimental
chapter O5 la dernière fois
o6. ce qu'il reste, et la fin de la fiche.
ACTRICE. Alexis Bledel.
PSEUDO. Le Sha is BLACK! euh... peut être que c'était back... *dépitée*
AGE. 16 ans.
AVIS. Je crois que si il ne me plaisait pas, je ne me serais pas inscrite x]
COMMENTS. On joue à touche pipi...? 
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| | | | Lily G. Cohen
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| | Sujet: Re: « On crévera chacun de notre côté. » Dim 9 Nov - 2:54 | |
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« Il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime,
mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. »
Chapter 01.
« la première fois. »
Il y a des anges qui n'ont pas d'ailes. Lily en faisait partit. Avec son visage quasi de porcelaine, ses grands yeux bleus, elle regardait le monde avec un sourire de poupée et ses petites dents blanches semblaient éclater autant que ses robes. Elle restait là à longueur de journée, en lisant les anciennes fables. Parfois, il arrivait qu'un loup dévore une petite fille habillait de rouge et qu'un bûcheron vienne la sauver. Lily riait à ses enfantillages et demandait à son ami imaginaire s'il comprenait, lui, et surtout si il existait un loup qui ne mâcha pas la nourriture avant de l'avaler. C'était une vie sans réelle misère, sans réelle douleur, si ce n'est la solitude constante et statique. « Rien n'est statique » disait Lisbeh, « même la Joconde tombe en miettes ». Lily ne répondait rien et haussait doucement les épaules, car elle ne comprenait pas toujours tout. Elle restait assise sur le sol, à dessiner des monstres imaginaires, des monstres dont elle lisait les histoires, qu'elle regardait à la télé aussi, quand cette dernière n'était pas occuper par la dernière baby sitter de quinze ans qui préferait regarder la Nouvelle Star que de venir voir Mars encore coincé dans l'arbre. Le chaton était avec Sugar son seul ami. Sugar? Personne ne voyait Sugar. Elle était fantasmagorique, une idée, une pensée, ni plus ni moins. Aujourd'hui encore, elle est là, assise, et elle regarde le petit ange qui défit les lois en dessinant un monstre.
« Papa ne rencontrera pas ce soir, Sugar, mais faut pas s'inquiéter, car c'est Carrie qui vient nous garder. Elle est gentille Carrie, car elle nous prépare des gâteaux. Tu n'aimes pas les gâteaux? Tu ne manges pas beaucoup, Sugar, tu es trop mince. Maman dit qu'il faut manger pour vivre. Tu sais quoi, Sugar? Hier, j'ai dit à Maman que plus tard, je voudrais être une Valkyrie, et Maman a dit que ça n'existait pas, que c'était des mensonges, que les gens ne croyaient pas en elle, que ça n'était qu'un film. Maman ne connaît rien aux Valkyries. Elle dit ça car elle n'a pas vu. Dis Sugar, tu ne partiras pas, toi? Maman dit qu'un jour, je me réveillerais, et que comme j'aurais grandie, tu seras partit, car tu n'existes pas. Tu existes Sugar. Dis, Sugar, tu veux joué avec moi? »
Elle eut un petit sourire en se levant doucement, comme pour ne pas faire de bruit dans la maison silencieuse. Sur le sol, les lattes de bois pleurent sous le poid plume de l'enfant qui s'avance. Elle pousse les portes, une à une, de la grande baraque de marbre et de chêne, cette maison qu'elle connaît presque par coeur. Sans doute par coeur. Elle pousse finalement la plus grande porte de la maison et devant elle s'étend un petit jardin. A sa droite et à sa gauche, elle aperçoit des maisons. Un peu plus loin, derrière les maisons aux toits rouges, il y a la maison où habite le Papa de Mars. C'est Madame Levin qui lui a a donné. Elle sourit.
« Mars! Mars! »
Cependant, aucune réponse. Elle s'efforce de ne pas réveiller sa Mère qui dort à l'étage, mais Mars ne répond pas à ses appels. Elle court dans le jardin et s'arrête au pied du grand arbre. C'est un grand cerisier dont les feuilles aceuillent des fleurs. Elle essaye d'apercevoir Mars, mais derrière l'épais feuillage, il n'y a rien que des tâches de couleur blanche. De la même couleur que Mars. Elle crie encore, mais toujours aucune réponse. Le chaton ne répond pas, et elle commence à pleurer, s'inquiétant. Elle n'a plus peur de réveiller sa mère et s'époumone. Son regard est apeuré, et elle est prise d'une crise d'angoisse. Elle virevolte sur elle même, en hurlant. Prise comme une démente, elle se met à courir et s'arrête quelques secondes.
« Aide moi Sugar! »
Mais l'être imaginaire ne bouge pas du seuil de la porte. Elle ferme les yeux et des larmes coulent, innodent son visage qui rougit. Elle se retourne finalement vers l'arbre et attrape la corde qui en descend. C'est la corde qui aurait dû être une échelle, mais Papa n'a pas eut le temps de la finir, et au final, elle est restée pendouillante. Elle se hisse difficilement mais retombe. Elle est trop faible pour y arriver. Elle reste immobile quelques secondes, comme figée. L'idée vient de lui passer par la tête. Son regard glisse lentement vers Sugar qui sourit, arrêtée sur le seuil.
« Sugar... Que... »
« Hey! C'est à toi le petit chat? »
Elle sursaute et se tourne. Son regard se pose aussitôt sur la boule de poil, inerte, dans les bras d'un jeune garçon, juste devant elle. Ses iris se rétractent violemment, et elle se crispe. Elle ne voudrait pas y croire, mais elle n'y arrive pas. C'est la douleur la plus flagrante, la plus terrible qu'elle n'est jamais vécue. C'est la douleur à l'état pur, celle qui vous fait pulser le sang trop vite dans le coeur et le cerveau, qui vous défonce de l'intérieur. La douleur invisible. Aussitôt son visage se crispe, et des larmes commencent à couler de ses yeux. La boule de poil boue dans les bras du petit garçon qui ne bouge plus, étonné.
« Qu'est-ce que tu fais? Tu n'appelles pas le vétérinaire? Il n'est pas encore mort. »
« Ma-ma-mars... »
Elle n'arrive plus à faire quoi que ce soit. Le petit garçon sourit et se penche vers elle, avec la boule de poil qui semble avoir du mal à respirer. Il lui touche l'épaule du bout des doigts, alors elle lève aussitôt la tête. Son visage est à quelques centimètres de celui du garçon, mais à six ans, qu'est-ce que cette proximité que le début d'une amitié? Elle plisse les yeux, mais les larmes coulent encore. Il sourit chaleureusement.
« Ma maman a appelé le vétérinaire. Il va bientôt arriver. Ne t'inquiètes pas. »
Elle le regarde quelques secondes. Il semblait plus âgé. Peut être une dizaine année, tout au plus. Il avait un visage fier et droit, bien dessiné, avec une peau pâle et lisse. Elle ne fit pas attention et se retourna vers sa maison. Sugar n'avait pas bougé, mais elle riait fortement, et elle regardait d'un air de défit la gamine. Elle aurait voulu hurler, mais sa voix était resté à l'intérieur de sa gorge, l'emprissonant à jamais. Elle plissa le nez pour courrir vers la maison.
« Je te haïs! Je te haïs! T'es méchante Sugar! Je croyais que tu étais mon amie! Tu es méchante! Pourquoi tu as fait ça à Mars? Dis moi pourquoi! Non, va t'en! Je ne veux plus jamais te revoir! »
Sait-on combien les espoirs d'une enfant sont importants pour sa vie future? Ceux de l'ange avait été réduit à néant en seulement quelques secondes. Elle se précipita à l'intérieur de la maison, plus désireuse que jamais de voir sa mère. Elle monta les marches et poussa la porte de la salle de bain. Au fond de la pièce, un visage suant, pâle et affreux était tordu de fureur. La silhouette se leva et giffla l'enfant. Une voix puissante rugit dans l'obscurité de la pièce.
« Quand je te demande de ne pas me déranger, ne me dérange pas! »
La porte claqua. La gamine regarde le bois blanc devant elle et réfléchit alors quelques secondes. Elle leva la main et toqua. Sa petite voix était tremblante, comme si elle allait, d'une seconde à l'autre, tombait en sanglot.
« Maman... Sugar a fait du mal à Mars.. Maman. Mars est plein de sang! Maman! »
Reprise par l'urgence, la gamine commença à frapper de plus en plus fort la porte, jusqu'à que cette dernière s'ouvre, entendant le cliquetis de la serrure. Elle arrêta et s'immobilisa. La porte grinça et elle aperçu sa mère. Dans la mince clareté de la pièce, elle pu apercevoir l'étiquette d'une bouteille. WILLIAM L. WILLIAM L. Un prénom? Un alcool? Une limonade? L'enfant se pinça les lèvres.
« Dérange moi encore une fois, sale gamine, et je t'arraches la bouche... »
La voix avait été siflottante, comme un serpent à sa proie, et elle avait refermé très lentement la porte devant la gamine qui n'avait pas bougé, immobilisé par la peur. Elle ferma les yeux et se mit à trembler doucement, de peur. Derrière elle, elle sentait le souffle glacé de Sugar.
« Lily... Mars va mourir et c'est de ta faute... »
« Tais-toi. C'est toi qui lui as fait du mal! »
« Moi? Non! C'est toi, voyons. C'est toi qui ne voulait jamais le surveiller, c'est toi qui le chercher que quand cela t'arranger. Allons Lily, ne fais pas l'enfant, c'est uniquement de ta faute. »
« Ca suffit! Tu mens! »
« Je te propose un pari. La première qui arrive au seuil gagne. Si je gagne, Mars meurt. Si tu gagnes, je m'en vais. Compris? »
La gamine se pinça les lèvres en réfléchissant, puis elle hocha vivement la tête. Aussitôt fait, Sugar s'élança dans l'escalier, et l'ange prit sa suite en courrant. Il y avait exactement quarante trois marches. Lily les avait comptait lors des nombreuses absences de ses parents. Elle plissa les yeux et accélera, prise de fureur pour cette ombre, ce fantôme, qui se jouait d'elle. Elle arrivait bientôt à la fin. Elle prendrait la tête, et tout serait fini. Dans les escaliers, le pied de Lily glissa.
Et elle tomba.
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